Affaire DIACAKIS

Avant d’entamer l’affaire Richard DIACAKIS et Clinique occulte des Champs Élysées (l’État français) qui m’ont tendu un guet-apens pour m’assassiner le 13 avril 2016, afin qu’Éric Sitbon ne rédige pas de rapport d’expertise pour que les deux meurtres de la clinique Ambroise Paré, la tentative de meurtre de Jean-Philippe BINDER pour me prélever les organes après m’avoir vidé le corps de sang et de graisse, pour que les prélèvements de tissus et cellules sans consentement de Frédéric SAUVEUR SARFATI et de David PICOVSKI en cours d’intervention ne soient pas révélés au grand jour, j’aimerais que les gens réfléchissent à ce qui se serait passé si j’étais décédée le 13 avril 2016.    

Personne ne se serait interrogé sur les vraies causes de mon décès que l’on aurait fait passer pour un accident comme pour tous les autres meurtres que les praticiens commettent en cours d’interventions et, toutes les affaires que je révèle au grand jour aujourd’hui au monde entier, auraient été enterrées avec moi, sans que personne ne sache.

Vous croyez vraiment que toutes les atteintes volontaires à mon intégrité physique et psychique, les deux tentatives de meurtres que j’aie subies et les procédures que j’engage sont le fruit du hasard ?  Dans ma présentation, je parlais de certains évènements qui arrivent que nous n’avions pas toujours le contrôle ni la maîtrise, voilà entre autre de quoi je parlais...

Vous ne trouvez pas étrange que tous les praticiens qui m’ont opéré sont impliqués dans le prélèvement de tissus et cellules humains sans consentement en per opératoire... Cela ne me surprend pas qu’ils m’aient tous tendu un guet-apens pour m’écarter de leur chemin, ces affaires sont beaucoup plus complexes que ce que je vous raconte. J’ai la chance d’être née avec le don de « l’intelligence » gouverné par YERATEL et je l’ai su très tôt, ce don je l’ai toujours utilisé pour comprendre et découvrir les choses que mon esprit cartésien ne pouvait m’expliquer, toutes les procédures que j’ai engagé avaient pour objectif de remonter à la tête du serpent qui dirigeait ce trafic « la Franc-maçonnerie Luciférienne ». Mais j’étais loin d’imager que la majorité des praticiens et des avocats en France en faisaient parie, voilà pourquoi je n’ai pas pris en considération les alertes que je recevais.

Après l’expertise du 22 juillet 2015 d’Éric Sitbon, je me suis mise en quête d’un devis de produit de comblement. J’ai consulté plusieurs praticiens qui m’ont confirmé le Diagnostic de l’expertise du faussaire Éric Sitbon et d’autres me proposaient un lipofilling après prise de poids.

Puis un jour, je suis tombée par hasard sur une émission diffusée sur You TUBE, dans laquelle le docteur HADDAD, un des actionnaires de la clinique occulte des Champs Élysées et le docteur Sidney OHANA faisaient le compérage de Richard DIACAKIS, le docteur HADDAD l’appelait le sculpteur dans l’émission, il lui avait même recommandé deux patientes qu’il a conseillé de ne pas se faire aspirer plus 800 grammes de graisse pour préserver la qualité de la peau, il les a opéré en direct dans l’émission. Après l’émission, j’ai fait des recherches sur Richard DIACAKIS, il n’y avait que des 5/5 des clients(es) qu’il avait opéré (ces témoignages après le 13.04.2016 sont passés en annulé), j’ai fait également des recherches sur la clinique occulte des Champs Élysées, Michel ou Moussa COHEN le PDG faisait plusieurs vidéos sur You TUBE pour faire la publicité de la clinique. Ce qui a fini par me convaincre qu’ils étaient sérieux, ce sont les émissions de BFM Santé où Richard DIACAKIS était interview et BFM Bisness où Monsieur COHEN  était souvent invité.

Le 17 décembre 2015, j’ai consulté Richard DIACAKIS pour un devis de Macrolane pour Éric Sitbon, afin de me faire rembourser les traitements par BINDER et PICOVSKI, il m’a déconseillé le Macrolane trop couteux, puis il m’a conseillé un lipolling si je prenais du poids, une seule intervention définitive, refus catégorique après BINDER, SARFATI et PICOVSKI, il était hors de question que je subisse un prélèvement de cellules graisseuses même pour un transférer, de plus je ne faisais que 52 kilos à la consultation, les trois autres praticiens avaient tout vidé, je n’avais que des muscles sous la peau. Après avoir étalé ses compétences, Il m’a dit, je vous fais quand même un devis de transfert de graisse 7 000 euros pour l’expert, remettez le à votre avocat, si l’expert l’accepte vous pouvez prendre du poids, je suis le meilleur chirurgien de la silhouette de Paris, je vous améliorerais la qualité de la peau avec un transfert de graisse si vous n’avez pas assez de graisse, le coût du Macrolane sera divisé par 3. C‘était évident que c’était un piège, ils étaient tous dans le même syndicat et je venais de lui dire que j’avais engagé des procédures contre ses confrères.

J’ai remis le devis à Maître Benhaim qui l’a numéroté et remis une copie à Maître Georges Lacoeuilhe et à Éric Sitbon pour me rembourser l’intervention, le devis figure dans le faux rapport d’expertise d’Éric Sitbon pièce 37 page 77, le devis était accepté, j’ai arrêté le sport et j’ai pris du poids. Au mois de mars 2016, j’ai revu DIACAKIS, il m’a fait une ordonnance de prise de sang, je n’avais toujours pas signé de devis ni de consentement éclairé, il m’a donné le numéro de son anesthésie attitré employé de la clinique des Champs Élysées, j’avais pris rendez-vous avec lui pour le 4 avril 2016, la date de l’intervention n’était pas encore décidé.

Après la prise de sang, j’avais 10,9 d’hémoglobine et pour l’Hématologie l’échantillon était insuffisant, je devais subir d’autres prise de sang, j’ai alors décidé d’annuler l’intervention.

J’ai consulté le docteur MONTONERI pour me faire réparer par le Macrolane. Il m’a donné un deuxième rendez-vous le 5 avril 2016, pour une consultation plus approfondie pour évaluer le coût du produit. Comme, j’avais déjà pris rendez-vous avec l’anesthésiste Emiliano Ferrari le 4 avril 2016, je suis allée à la consultation, j’ai montré les résultats au docteur Ferrari et je lui ai dit que j’annulais l’intervention mon hémoglobine de 10,9 ne me permettait pas de subir un transfert de graisse, j’avais décidé de me faire réparer par les produits de comblements, il m’a dit que pour un lipofilling, il n’y avait pas de risque, compte tenu que la graisse aspiré était réinjectée, de toute façon il ne pouvait pas aspirer plus 1,5 litre de graisse à transférer, c’était interdit en France au cours d’une même intervention. Ensuite, il m’a fait l’étalage des compétences de Richard DIACAKIS, le même discours que sur les réseaux sociaux, puis il m’a dit je vais lui en parler, s’il l’intervention représente un risque il vous le confirmera. Il m’a raccompagné, je lui ai demandé si Diacakis avait déjà eu des problèmes avec ses patientes, parce que sur les réseaux sociaux, il n’avait que des 5/5 et c’est le praticien en France qui diffusait le plus grand nombre de vidéos sur YouTube, il m’a dit qu’il travaillait avec depuis 10 ans à sa connaissance, il n’a jamais eu de problèmes avec ses patients(es)... 

Le 5 avril 2016, le docteur Montoneri m’a prescrit le devis de Macrolane, comme je ne recevais toujours pas de rapport d’expertise, j’ai envoyé le devis à Maître Benhaim pour donner à Éric Sitbon pour la réparation des lipoaspirations de BINDER et PICOVSKI. Le 7 avril 2016, Maître Benhaim m’a enfin envoyé un faux rapport d’expertise de près de 100 pages, je lui ai demandé de demander une contre-expertise, je n’ai pas eu de réponse, je lui ai envoyé plusieurs mails pour dénoncer le rapport de Sitbon, elle ne me répondait jamais.

Le 12 avril 2016, alors que l’intervention de Diacakis était annulée, j’ai reçu vers 20h un message subliminal de Diacakis.

Après la lecture du message, j’avais complètement oublié les résultats sanguins, l’intervention annulée le 4 avril 2016, le devis de Macrolane que j’avais payé 100 euros en consultation le 5 avril 2016, je n’avais signé ni devis ni consentement éclairé et Richard Diacakis, il ne pouvait donc pas rédiger de faux devis ni faux consentement éclairé avec mon écriture, tout simplement parce qu’il n’avait aucun document avec mon écriture et ma signature.

Richard DIACAKIS a pris un sacré risque en m’envoyant ce message pour m’assassiner le 13.04.2016, il devait être sûr de réussir son coup. Lisez les devis et consentement éclairé fabriqués et numérotés par Maître Lacoeuille, le devis est complètement différent du devis qu’il m’avait remis le 17 décembre 2015 qui est le rapport d’expertise, qu’il a imité ma signature sur le devis, pas besoin d’être un graphologue pour voir que c’est une pale imitation raté, quant au consentement éclairé signé le 17 décembre 2015 sans commentaire, ni l’écriture qui a rempli ce consentement ni la signature ne sont les miennes.     

Le 13 avril 2016 à 12h30, avant de sortir je me suis regardée dans le miroir sans savoir que je voyais mon visage pour la dernière fois et que l’on m’avait tendu un guet-apens pour m’assassiner à la clinique des Champs Élysées appartenant à l’État depuis 2009.

Je suis arrivée à 13h15 à la clinique des Champs Élysées propriété de l’Etat, j’ai donné mon nom à l’accueil et une infirmière m’a installé dans la salle d’attente, j’étais assise en fasse d’une horloge, à 13h35, elle est venue me chercher pour m’installer dans une chambre truffée de caméras dans laquelle je devais me changer avant l’intervention, l’intervention était ambulatoire et devait durer deux heures maximum et je rentrais chez moi avant 17h, voilà ce que l’on m’avait expliqué, Diacakis m’a rejoint 15 minutes après, il m’a pris des photos près d’un radiateur sans me faire de croquis, ensuite il m’a fait des croquis à l’avant aux emplacements indiqués sur la fiche d’information de la SOFCPRE en noir pour prélever la graisse et en rouge pour transférer, il m’a demandé de lui payer ces honoraires avant l’intervention, je lui ai répondu que je comptais payer les 7 000 euros en CB après l’intervention, il m’a dit que ces comptes étaient séparés de la clinique, je lui ai fait un chèque de 2 000 euros, puis nous sommes allés rejoindre Ferrari dans une petite pièce où Ferrari nous attendait, il m’a dit, vous avez retiré vos nattes pour détourner mon attention pendant qu’il me faisait une perfusion qui m’a endormi immédiatement avant que j’aie eu le temps de répondre.

La perfusion que Ferrari m’avait faite n’était pas assez puissante, alors j’ai assisté à la destruction de mon corps et ma santé, j’entendais le bruit des instruments et les voix de plusieurs personnes, j’avais l’impression que l’on jouait au pingpong avec mon corps comme balle, prise de panique, j’ai demandé qu’est-ce que vous faites, j’ai hurlé arrêtez s’il vous plait, j’avais beau hurler, personne ne m’entendait, cela a duré une éternité jusqu’au moment où épuisée, je vais m’ abandonner et à ce moment-là, j’ai senti quelqu’un prendre ma main droite, je me suis levée et j’ai quitté mon corps, les poussant à l’abandonner. J’ai eu une conversation très instructive avec un être cher qui m’a sorti de mon corps et j’ai appris beaucoup de choses sur moi. Je suis revenue à la vie malgré mes réticences, je ne pouvais pas rester pour la simple raison que si je ne revenais pas à la vie, plusieurs personnes allaient encore souffrir, je devais les protéger…

Endormie aux environs de 14h30, je me suis réveillée à 22h avec une transfusion de liquide jaune dans la veine « dérivé de sang » et un lourd fardeau sur les épaules, le corps complètement démoli du visage aux pieds et la santé détruite, avec un visage qui n’était plus le mien et le corps en lambeaux couvert de bleus et de plus de 30 cicatrices.

Le lendemain, Richard Diacakis et son assistante sont venus dans ma chambre, il m’a hurlé dessus « Je ne vous ai pas fait l’intervention prévue, vous allez faire quoi maintenant, remonter le temps pour annuler l’intervention», avant de repartir avec un regard malicieux, satisfait et un sourire machiavélique en claquant la porte, je venais de me rappeler tout ce que j’avais oublié après la lecture du message, je m’étais fait avoir, mais il avait raté son meurtre, il venait de me donner les preuves des crimes contre l’humanité commis en cours d’intervention par les praticiens, j’étais la preuve de mon propre meurtre. En sortant de la chambre, la comptable de la clinique m’attendait devant la porte avec un appareil de carte bancaire, j’ai payé les 5 000 euros, je lui ai dit que je voulais une facture détaillée pour chaque prestation que j’avais subie et les noms des personnes qui étaient au bloc, elle m’a dit que j’allais tout recevoir par mail et je suis partie.

Je savais que c’est l’expert Éric Sitbon, Maître Georges Lacoeuilhe et Maître Benhaim qui étaient à l’origine de cette tentative de meurtre, tout a été décidé quand j’ai envoyé le devis de Macrolane à Maître Benhaim le 5 avril 2016 qui coûtait plus de 10 000 euros d’injections annuelles à vie et qu’elle m’a envoyé le faux rapport d’expertise le 7 avril 2016.

En rentrant chez moi, je me suis regardée dans le miroir, mon visage n’existait plus, j’ai tiré la peau de mon visage désossé la peau s’est décollée des muscles, j’avais une légère paralysie sur le côté droit du visage et quand j’ouvrais les yeux les larmes coulaient sans raison, cela s’est estampé avec le temps, tout le corps avait été démoli, pendant 10 jours, je n’ai pas dormi, je ne marchais plus, je rampais pour me déplacer, je ne pouvais plus m’asseoir, mes fesses et mon sexe avaient été aspirés... J’avais l’impression que l’on m’avait brisé le cou et le dos, les bras et les mains aspirés, tout le corps était irradié de douleurs insupportables, j’avais des crampes aux mollets qui me déchiraient le cœur… Mes chevilles, mes pieds et mes talons me brulaient, aucune partie du corps n’avait été épargnée, impossible de supporter la chaleur et le froid c’est toujours le cas aujourd’hui, l’automne c’est la pire saison de mon existence, les pluies m’empêchent de dormir la nuit toutes les douleurs sont réveillées cela m’a provoqué de l’hypertension artérielle, j’avais l’impression de bruler dans les flammes éternelles de l’enfer.

Lisez le compte rendu opératoire fusionné avec les photos postopératoires. J’ai mis les photos, car l’un des pouvoirs de YERATEL est de dévoiler au monde ce que l’ombre peut faire à l’homme. À ce jour, je suis encore dans le même état que sur les photos, Richard Diacakis aucune responsabilité n’a  été reconnue à Richard Diacakis, donc c’est à moi de payer les centaines de milliers d’euros de réparations esthétiques de mon corps, et c’est à la CPAM de payer les frais de santé et la pension d’invalidité, j’ai été reconnue handicapée à 50 % par la médecine du travail remis à mon medécin. Attendez de lire le rapport d’expertise du Docteur Sarah De BABECHE, expertise passé en 2018, reçu en juillet 2022 par l’intermédiaire de l’ordre des médecins après dépôt de plainte, près de 200 000 euros de perte de salaire depuis l’intervention, Sarah De Babèche n’a constaté aucun préjudice lors de l’expertise et j’ai repris mon travail après l’intervention sans aucun déficit même provisoire…

Rachel Boungou n’existait plus, il fallait trouver à ce nouveau corps et visage une nouvelle identité, je n’ai pas eu à chercher, avant de m’aspirer dans ce nouveau corps, on me l’avait montré, j’avais refusé de le réintégrer, on ne m’avait pas donné le choix, pour accomplir ma mission il me fallait un corps et je n’en avais pas un autre et les intuitions ont commencé dès que je m’étais regardé dans le miroir et je suis devenue une autre personne. Je me suis mise à écrire, j’écrivais certaines choses que je ne savais pas, ensuite quand je relisais mes écrits, j’allais faire des recherches.

Les conséquences de ce meurtre échoué, DIACAKIS avait détruit mon identité et m’avait condamné à vivre avec des douleurs perpétuelles, qu’il avait provoquées en m’aspirant la protection naturelle de toute mon enveloppe corporelle. Richard Diacakis avait raté son meurtre, au lieu de me trancher la gorge puisque les praticiens en France ont le droit d’assassiner leurs clients(es) en cours d’interventions pour en faire des matières premières et s’assurer que j’étais bien décédée, il a vendu la peau de l’ours avant de l’avoir tué à L’Oréal et aux laboratoires, il comptait sur les résultats des prises de sang pour provoquer la mort en cours d’intervention en me prélevant tous les tissus et cellules du corps, les cellules souches et les cellules de la moelle osseuse…

Le 24 juillet 2016, j’ai eu ma première consultation à 15h avec Richard Diacakis, Il m’a fait patienté dans la salle d’attente jusqu’à ce que tous ses confrères qui travaillaient dans le cabinet soient partis, la chaleur de l’été me rangeait la chair, je n’avais plus de protection sous la peau, j’étais au bord de l’évanouissement, à 19 heures il m’a enfin reçu…

Je voulais récupérer mes photos préopératoires, c’était les dernières de la personne que j’étais avant de disparaître, il a ouvert mon dossier photo sur son PC, je suis tombée sur des vidéos de moi nue, il avait extrait plus de 30 photos qu’il avait retouché et dessiné des croquis directement dessus, je lui ai dit de me les envoyer tout de suite, j’attendais la réception des vidéos sur mon Iphone, il a éteint son PC, pris mon sac, l’a jeté dans le hall et m’a demandé de partir, je lui ai dit pas sans avoir reçu les vidéos sur mon Iphone, il a alors déserté son bureau et a appelé la police. Les agents m’ont dit que s’agissant d’une affaire médicale, ils ne vous pouvaient pas obliger DIACAKIS à m’envoyer les vidéos, je devais déposer plainte à l’ordre des médecins pour les récupérer et donc je suis partie avec eux.

Le 5 août 2016, jour de mon anniversaire que je n’ai même pas pu fêter, car j’agonisais, Richard DIACAKIS a déposé une plainte contre moi, j’ai été auditionnée le 8 août 2016, je voulais déposer une plainte reconventionnelle pour tortures et actes de barbarie en bande organisée en per opératoire, les policiers m’ont dit de déposer ma plainte à l’ordre des médecins et s’il était sanctionné alors ils pouvaient prendre le relai. Ils m’ont interdit de demander les documents et les vidéos par SMS, je ne pouvais utiliser que le mail. J’ai continué à demander les documents et à lui envoyer les photos de mon corps tous les jours par mail, pour le mettre face à ses crimes.

Après l’audition, j’ai déposé plainte à l’Ordre des médecins contre Richard Diacakis et l’anesthésiste Emiliano Ferrari qui m’avait maintenu endormie pendant plus de 4 heures sous anesthésie générale et avait assisté à la destruction complète de mon visage, mon corps et ma santé sans me porter assistance. Il y a eu conciliation le 14 octobre 2016 à l’ordre des médecins.

Résumé de la conciliation du 14 octobre 2016 avec Richard DIACAKIS à l’ordre des médecins.

Richard DIACAKIS est arrivé à la conciliation complètement défoncé, les yeux vitreux et il a tout déballé : « Madame Boungou n’avait pas besoin de cette intervention, je n’aurais pas dû l’opérer, mais depuis que l’on travaille à la clinique des Champs Élysées, ces pratiques sont courantes sur les patients(es) en cours d’intervention, je n’ai jamais eu de problèmes jusqu’à présent, c’est le cabinet BRANCHET et Maître Georges Lacoeuilhe qui règlent tout avec les avocats des victimes. Je ne comprends pas pourquoi Madame Boungou s’en prend à moi ».

Le conciliateur lui a dit, vous pouvez quand même voir Madame Boungou en consultation pour ses problèmes de santé et trouver des solutions. Il a répondu « Je ne suis pas son médecin traitant ni la CPAM, si je la revoie à son cabinet, j’appelle la police ».

Le conciliateur m’a demandé de concilier, j’ai refusé, il a rédigé le PV de non conciliation puis il a transmis la plainte à la chambre disciplinaire pour que l’affaire passe en jugement.

Le 5 décembre 2016, jour de ma reprise un poste provisoire moins rémunéré dans l’agonie et la douleur, Richard Diacakis a déposé une 2^ème plainte contre moi pour harcèlement et appel malveillant, alors que je ne l’avais plus appelé ni envoyé de SMS pour demander les documents et vidéos depuis l’audition du 8 août 2016…

J’ai contacté plus de 30 avocats et dépensé plus de 10 000 euros d’honoraires d’avocats rien que pour l’étude des dossiers, aucun n’a voulu me représenter, ils me rendaient tous mes dossiers, sans même un petit résumé du travail fait et sans explication. 

Après le classement sans suite de toutes mes plaintes pénales par les Procureurs de la République, j’ai rédigé moi-même trois plaintes pénales à l’attention du doyen des juges d’instruction de la Chambre Criminelle contre Éric Sitbon, Jean-Philippe Binder, Richard DIACAKIS, Emiliano FERRARI et la Clinique Des Champs Élysées que j’ai déposé au SAUJ, la plainte contre Éric Sitbon a été refusé au SAUJ, le doyen des Juges d’instruction du pôle financier Jean-Luc GADAUD a subtilisé mes deux plaintes contre BINDER, DIACAKIS et sa bande organisée qui n’étaient de sa compétence, a rendu une ordonnance de consignation dans des affaires de Crimes contre l’Humanité, après les rejets de mes appels et le dessaisissement de mon avocate qui m’a renvoyé les chèques de consignation, j’ai envoyé à la régie qui me les a retourné sur ordre du Juge Jean-Luc GADAUD, j’ai alors fait deux virements pour garder les preuves du règlement des consignations, les deux virements de consignation ont été rejetés par le Tribunal Judiciaire le 26 mars 2021.

Après plusieurs refus des avocats que j’avais contacté pour me représenter, la plupart m’ont dit que je m’attaquais directement à l’État, ils refusaient de me représenter par peur des répercutions, le dimanche 18 juillet 2021, j’ai passé une annonce sur STAROFSERVICE avec un résumé des affaires, même pas une heure après, l’avocat Marc MARKOVICZ m’a contacté. Le 19 juillet 2021, j’ai appelé la greffière du cabinet des doyens des juges, j’ai envoyé un mail à l’avocat MARKOVICZ pour lui résumer ma conversation avec la greffière. Le 22 juillet 2021, le juge Jean-Luc GADAUD a rendu une ordonnance d’irrecevabilité de mes plaintes pour défaut de règlement des consignations.

Le 26 décembre 2021, Emmanuel Macron sur proposition d’Éric DUPOND-MORETTI a nommé comme juge à la cour d’Appel de Bordeaux, le juge Jean-Luc GADAUD, pris en flagrant délit d’atteinte à la probité de la justice par les preuves des virements de mars 2021.

Après le rejet de mes plaintes contre BINDER, DIACAKIS et FERRARI pour les faire radier par le Conseil d’État le 3 novembre 2022, j’ai engagé Maître François PINATEL qui a déposé un Recours devant la Cour Européenne des droits de l’homme, le 3 mars 2023 : Affaire BOUNGOU contre L’État français. En attente du jugement de la CEDH, 3 600 euros d’honoraires.

Vous pouvez prendre connaissance de toutes les pièces dans les PDF, j’ai mis la photo d’Hélène VESTUR, car c’est elle qui dirige le trafic d’organes, de tissus et de cellules humains en France, elle m’a condamné à payer 3 000 euros à Richard DIACAKIS pour avoir survécu à la tentative de meurtre du 13 avril 2016, comme si la princesse du Luxembourg avait le pouvoir de m’imposer ses crimes.