Affaire PICOVSKI

Après mes déboires avec le docteur Frédéric SAUVEUR SARFATI, je ne pesais plus que 47 k, il m’avait dit après m’avoir fait subir trois interventions successives de reprise de ptose 9 mois avant consolidation pour m’extorquer 5 860 euros et aggraver mon état initial que pour les praticiens, les patients(es) en per opératoires étaient considérés des murs à décorer...

Quand j’ai des problèmes, je suis anorexique, mon estomac se noue et je ne peux rien avaler. Je ne pouvais plus porter mes jeans et je fais  tailles 25-26 en LEVIS, j’avais des dépressions très visibles entre les jambes comme si on m’avait arraché la chair dans les cuisses internes après la lipoaspiration de 300 ml en réalité plus de 2 000 ml de Jean-Philippe BINDER le 29 mai 2013, tout le monde les remarquait avec mes 47 kg. Dans l’état que m’avait laissé BINDER, je ne pouvais ni reprendre le travail ni engager de procédures. J’avais décidé de faire une formation pour me reconstruire psychologiquement avant d’engager des procédures, j’avais passé les tests pendant la convalescence de la plastie abdominale de SARFATI, il n’y a que la lecture et l’écriture qui arrivent à me faire oublier tous mes problèmes, je suis très cérébrale, je peux passer 10 heures à lire et écrire dans une journée sans m’en rendre compte. D’ailleurs ma formation a commencé le même jour que le rendez-vous du STAFF et je suis allée au STAFF après ma formation vu que le rendez-vous était à 18h30.

J’avais décidé de consulter un chirurgien pour me dire s’il était possible de combler les dépressions que j’avais dans les cuisses internes, mais comme je savais ce qui se passait dans les hôpitaux et les cliniques, je voulais consulter un chirurgien qui connaissait bien les lois en chirurgie esthétique. Un jour, je suis tombé sur une vidéo du docteur David PICOVSKI qui donnait des conseils aux patients(es), vous pouvez voir la vidéo, elle est toujours sur Google, il avait présenté sa thèse de doctorat sur les lois en chirurgie esthétique, ayant moi-même fait une étude de cas sur une condamnation d’un chirurgien esthétique d’un arrêt de la cour de cassation lors de mes études, j’ai pris rendez-vous avec lui le 4 décembre 2013.

Le 4 décembre 2013, j’ai consulté le docteur David PICOVSKI pour savoir s’il était possible qu’on voit moins les dépressions dans mes cuisses internes, j’étais habillée en jeans pour lui montrer le résultat, je pèse alors 47 kg. Après l’entretien,  il a pris des photos, il les a regardé, puis il a dit : « pour combler les dépressions, il faut faire un transfert de graisse dans vos cuisses internes, mais vous n’avez pas de graisse à prélever pour transférer  ». Je m’apprêtais à  partir quand il m’a dit par contre si vous prenez 3 à 4 kg pour former de la graisse, je n’avais pas  une once de graisse dans le ventre après la plastie abdominale. Je lui ai répondu que j’allais réfléchir, car prendre du poids pour moi était plus difficile pour que d’en perdre, quand j’ai des soucis ou quand je suis malade, je maigris à vue d’œil, j’ai l’estomac noué, manger devient un enfer, c’est un problème psychologique que j’ai depuis toujours et par-dessus tout je n’aime pas faire la cuisine. Il m’a dit, si vous voulez retrouver vos belles jambes, il va falloir faire un effort, profitez-en pendant les fêtes qui arrivent pour prendre du poids, je lui ai dit je vais essayer, il avait l’air plutôt sympathique et rassurant.

En janvier 2014, j’avais pris 3 kg, j’ai alors appelé son secrétariat qui m’a donné une consultation le 8 janvier 2014, je pèse alors 50kg. Il m’a dit, je vais pouvoir réparer vos réparer les cuisses internes, je pourrais vous prélever 800 grammes maximum dans les poignées d’amour et les hanches pour transférer dans les cuisses internes pour harmoniser votre silhouette. Il m’a expliqué que l’intervention ne durait qu’une heure, je rentrais chez moi après et pas d’arrêt maladie, je connaissais l’intervention, j’avais fait des recherches, il y a des femmes qui se font augmenter les seins et les fesses avec un transfert de graisse,  nous avons décidé d’une date de l’intervention le 16 janvier 2014, le 17 janvier 2014, je pouvais reprendre mes cours, nous avons signer un devis de transfert de graisse et un consentement éclairé tous les deux signés. Il a tout mis dans une enveloppe, qu’il m’a remis puis je suis partie.

Le 16 janvier 2014, après admission à la clinique, une infirmière m’a accompagné dans la chambre où je devais me changer pour l’intervention. Elle avait un comportement étrange, je lui ai dit de me laisser seule pour me changer, elle est revenue, puis elle a fait semblant de faire le lit en marmonnant, j’ai dit  pardon ? Sans lever la tête, elle a dit « je n’aime pas ce que ce praticien vient faire aux patients(es) à la clinique », j’ai demandé comment ça. Le docteur PICOVSKI est rentré à ce moment-là avec pour me prendre en photo pour l’intervention. Avant 12 h, j’étais réveillée et je suis rentrée chez moi, j’avais l’impression d’avoir la silhouette déformée dans mon jean, j’ai retiré le penty, j’avais du dos jusqu’à l’arrière des genoux à l’arrière et à l’avant du ventre jusqu’aux genoux couverts de rougeurs et de bleus, il m’avait aspirez toute la couche interne de mon épiderme (les cellules souches de la peau) et déformé la silhouette, j’ai repensé à ce que l’infirmière avait dit. Il y avait une caméra dans la chambre dans laquelle je me suis changée, cela expliquait pourquoi l’infirmière n’avait pas levé la tête pour me parler et pourquoi PICOVSKI était arrivé quand l’infirmière m’a parlé, elle voulait me prévenir que le docteur PICOVSKI commettait des actes illicites à la clinique sur les patients(es).   

Le lendemain, j’ai appelé pour parler au docteur PICOVSKI, j’avais cherché le devis et le consentement éclairé que nous avions signé tous les deux le 8 janvier 2014, impossible de les trouver pourtant il les avait mis dans l’enveloppe qu’il m’avait remise devant moi. Son assistante m’a dit que le docteur PICOVSKI était en consultation, elle m’a donné rendez-vous le 8 février 2014.

Je me suis connectée sur Google, j’ai demandé que fait-on de la graisse des lipoaspirations?  Pas de réponse « omerta totale », peut-on injecter la graisse d’une personne sur une autre ? Non. Je savais qu’il y avait un trafic d’organes, de tissus e cellules humains et je comptais bien le mettre à jour.

David PICOVSKI prétendait avoir présenté sa thèse sur les lois en chirurgie esthétique et il m’avait fait une lipoaspiration avec un poids de 50 kg pour 1m60, IMC = 19, alors que la moyenne nationale est de 22, sans devis ni consentement éclairé. Pour faire une lipoaspiration à une personne, son IMC doit être à 26, d’après ce que je lisais »

Le 8 février 2014, Il m’a dit ne pas avoir eu assez de graisse à transférer, alors il a décidé de me faire une lipoaspiration pour harmoniser ma silhouette, j’ai répondu « c’est une blague » et comment vous faites pour réparer ma peau ? Il m’a répondu que dans un mois ma peau allait se remettre en place comme avant. J’ai demandé le devis et le consentement éclairé que nous avions signé le 8 janvier 2014, il m’a dit l’avoir mis dans la pochette, je lui ai dit, j’ai cherché partout je n’ai pas trouvé. Il m’a dit, je vais vous retrouver une copie du mien et je vais vous l’envoyé et il m’a donné rendez-vous le 12 mars 2014.

J’ai appelé une avocate, je lui ai dit que je devais demander une expertise judiciaire pour trois chirurgiens esthétiques, le docteur Jean-Philippe BINDER, Frédéric SAUVEUR SARFATI et David PICOVSKI. Elle m’a envoyé une facture de 420 euros et elle m’a dit de lui renvoyer le dossier accompagné du chèque par la poste pour prendre connaissance du dossier.

Le docteur David PICOVSKI n’a jamais mis le devis et le consentement éclairé que nous avions signé le 8 janvier 2014 dans la pochette, vous lirez le faux devis qu’il a présenté, il n’y a pas de date d’intervention dessus, à la place de la date c’est écrit à définir. Malgré mes demandes, il ne m’a rien envoyé. Il s’est contenté de transférer mes mails de demande de photos préopératoires, de devis et de consentement éclairé aux juristes du cabinet BRANCHET.

Ces derniers m’ont écrit pour me dire  que ce sont eux qui se chargeaient de cette affaire désormais croyant que j’allais négocier, mais pour cela il faut déjà qu’ils m’envoient, le devis, le consentement éclairé et les photos préopératoires que je demande depuis 2014.

Pièce 1 : Faux compte rendu de consultation évidemment envoyé par Maître Georges Lacoeuilhe

Il écrit bien les mesures : 50kg, 1m60, IMC = 19, je rappelle que la moyenne nationale est de 22 et il écrit que je l’ai consulté pour des lipomeries.

La définition de David PICOVSKI de lipomerie, je ne savais même pas que ce mot existait avant de faire des recherches :

Une lipomérie est une surcharge graisseuse localisée pouvant se situer sur les hanches, les cuisses, le ventre, etc., et qu’il est difficile, voire impossible de faire disparaître complètement, même avec la pratique d’un sport et ou un régime bien conduit.

Il m’avait pris des photos le 4 décembre 2013, il n’a jamais voulu me les envoyer, sur les photos prises à la clinique je suis tassée. J’ai plusieurs photos de moi que je vais mettre dans les pièces, vous en jugerez.

Pièce 2 : Le devis, il n’y a pas date d’intervention et le contenu du devis est complètement absurde

Pas de  consentement éclairé signé le 8 janvier 2014, il a tout simplement disparu pourtant le médecin doit toujours le garder pour le fournir en cas de procédures. J’aimerais bien savoir qui lui a revendu sa thèse.

Pièce 3 : Le compte rendu opératoire

Pièce 4 : Le devis de réparation du docteur Montonneri 10 060 euros par an de produit de comblement résorbable à vie.

Pièce 5 : Décision de la chambre disciplinaire disciplinaire, non signé par le président de la formation et la greffière à l’audience, dont aucune validité juridique, inopposable au tiers, recours devant le tribunal administratif qui l’a renvoyé devant la chambre disciplinaire nationale, je tourne en rond.

Le faussaire Éric SITBON lui a imputé la responsabilité de ce prélèvement de tissus et cellules humains sans consentement en per opératoire,  dans le faux jugement rendu par lui et ses complices, Maître Georges Lacoeuilhe et mes avocats. David PICOVSKI plus de 90 000 euros depuis 2015, date de consolidation.

Le cabinet BRANCHET être écarté définitivement écarté de la chirurgie plastique esthétique si l’on veut mettre un terme au trafic d’organes, de tissus et de cellules humains. Les cotisations que les praticiens lui paient viennent des honoraires que nous payons…

Nous allons proposer une autre assurance pour la chirurgie plastique esthétique.