YERATEL-JUSTICE-SANTÉ-ÉCONOMIE  
           
 

Affaire SITBON

 

 

Le 5 mars 2014, j’ai appelé Maître Ingrid Briollet pour une demande d’expertise en référé, Maître Briollet m’a envoyé la facture à regler pour prendre connaissance du dossier avant le premier rendez-vous. Lors de notre rendez-vous, je lui ai dit que je comptais engager une procédure pénale en parallèle, elle m’a dit de prendre rendez-vous au secrétariat avec une de ses consœurs pour la partie pénale. Lisez l’adresse sur la convention d’honoraires et les courriers qu’elle m’a adressés avant la demande d’expertise. J’ai demandé à Maître Briollet de demander les devis signés par nous deux pour au docteur Jean-Philippe Binder pour les trois interventions, mon dossier médical à la clinique Ambroise Paré et à l’hôpital Saint-Louis, je lui ai laissé un chèque de provision de 1 200 euros. Je lui avais dit de mettre l’assignation en suspens dans un mail, jusqu’à ce que j’aie tous les documents et photos des interventions de BINDER et des réparations de Frédéric SAUVEUR SARFATI et de David PIVSKI pour démêler cette affaire.

 

Maître Briollet avait envoyé un courrier au docteur Binder pour lui demander les originaux de tous les documents et surtout les devis des interventions signés par nous deux, sans devis pas d’interventions. Tous les documents qu’il m’avait envoyés étaient des faux et les devis n’étaient par lui ou par moi, Binder l’a répondu par un mail. Toutes les pièces citées sont fusionnées dans « Briollet Convention+Demande d’expertise ».

 

Le docteur Jean-Philippe Binder a encaissé pour ces crimes contre ma personne 337€50 de l’acompte qu’il avait demandé le 15 mai 2013. Après l’annulation du prêt, il a tenté de récupérer les honoraires, je lui ai demandé de saisir la justice s’il voulait se faire payer.

 

J’avais besoin de récupérer tous les documents avant de corriger les assignations donc je n’avais pas corrigé l’assignation exprès pour qu’elle ne l’envoie pas avant mes corrections.

 

Alors que je croyais l’assignation en suspens jusqu’à ce que l’on obtienne tous les documents, Maître Briollet avait reçu les documents de la clinique Ambroise Paré, le devis que le docteur Binder avait envoyé à la clinique non daté qu’il avait signé à ma place et le compte rendu de consultation du docteur Mazouz du 16 juillet 2013 adressé à BINDER.

 

Me Briollet au lieu de m’informer de la réception des documents pour enfin me permettre de corriger l’assignation avant de l’envoyer, elle a envoyé l’assignation sans correction ni m’informer. Sur la demande d’expertise, au lieu de mettre mon adresse qui est sur tous ses courriers, elle a mis mon ancienne adresse dans le 93, pour ne pas convoquer la CPAM du Val de marne qui avait pris en charge une nuit d’hospitalisation à la clinique Ambroise Paré, les frais de santé, les frais de l’infirmière qui est venue changer les pansements et me faire des injections pendant 10 jours chez moi après le 31 mai 2013.

 

Nous n’avions jamais pu obtenir le compte rendu de consultation avec le docteur Jean-Philippe à l’hôpital Saint-Louis du 26 avril 2013 à l’hôpital, la consultation figure bien dans le fichier de l’hôpital, mais il n’a pas rédigé de compte rendu de consultation, ce qui est impossible à l’hôpital Saint-Louis sauf si le personnel et le service du professeur REVOL étaient au courant et complices des crimes contre l’humanité de BINDER.

 

C’est Maître Briollet qui a choisi elle-même l’expert Éric Sitbon comme expert judiciaire, elle le précise elle-même dans son courrier. Le docteur Jean-Philippe BINDER ne s’est pas présente au jugement de référé ni son avocat.

 

Après l’ordonnance de référé, j’ai tout simplement changé d’avocat, ce que Maître Briollet avait fait était impardonnable, faire une demande d’expertise pour des interventions sans devis signés et ne pas le signaler au juge était la non-dénonciation de crime, qui est un délit.

 

Maître Briollet avait saboté ma demande d’expertise, pour éviter une condamnation pénale aux trois praticiens qui avaient porté des atteintes volontaire à mon intégrité. Cela compliquait mes procédures, mais j’avais les preuves des infractions, donc j’ai foncé.

 

Après les trois interventions, j’ai conclu que les avocats, les cliniques de chirurgiens esthétiques et les anesthésistes étaient complices des crimes contre l’humanité commis par les praticiens, aucun ne vérifie les devis envoyé par les praticiens, n’importe qui peut aller commettre les meurtres dans les cliniques avec des faux devis et les avocats les couvrent. C’est le médecin du travail qui va m’expliquer que le ministère de la santé avait légalisé le commerce des tissus et cellules par les contrats entre les hôpitaux et cliniques d’une part et d’autre part L’Oréal et les laboratoires pour leur revendre les matières premières humaines indispensables à la fabrication de leurs cosmétiques et des traitements à base de cellules souches et moelle osseuse, la seule solution était de négocier avec le cabinet BRANCHET.

 

Lors de la première expertise le 17 décembre 2014, en début d’expertise, au lieu de me présenter les devis signés par Binder et moi en 2012 et 2013, qui lui donnait le droit de me faire subir les trois interventions, l’expert a sorti plusieurs faux documents dont certains manuscrits écrits avec mon écriture et signés avec ma signature, dans ces documents je suppliais le docteur Binder de trouver une solution à mes problèmes de poids, pour mon ventre qui pendait en 2012 d’où l’exérèse qu’il a fait passer pour une mini-plastie  abdominale et pour le corps qui m’handicapait dans mes activités quotidiennes pour me faire une lipoaspiration thérapeutique de 300 ml, sur le compte rendu opératoire en réalité plus de 2000 ml, le 29 mai 2013. J’ai demandé à mon avocate pourquoi, il n’y a pas de devis signés pour ces trois interventions et qu’elle ne m’avait pas présenté ces pièces avant l’expertise, elle m’a dit que l’avocat de Binder ne lui avait pas transmis ces documents. Je pèse entre 54 et 56 kilos pour 1m60, IMC=21, si jesouffrais d’un handicap, c’est mon médecin traitant que j’aurais consultépour faire prendre en charge l’intervention par la CPAM. Avec tous les faux fabriqués par Halimi et Maître Lacoeuilhe dans l’affaire Halimi, si Binder n’avait pas signé les devis, j’aurais soupçonné tout de suite des atteintes à mon intégrité, c’est la raison pour laquelle, je n’avais pas parlé de la condamnation de Halimi à BINDER en consultation.

 

Aucun des devis que son avocat avait présenté pour l’expertise n’était signé par nous deux, je ne comprends pas comment ils ont eu l’audace de mettre ma signature sur ces faux, puisque de toute façon c’est la signature du praticien qui est vérifié, lisez le devis de BINDER pour l’intervention du 29 mai 2013. L’article du code de santé public y est marqué. Les faux se succédaient pour détourner l’attention sur les faux devis non signés par nous deux, l’expert Sitbon avait subtilisé les courriers manuscrits, il savait que c’était des faux, il me les a fait lire en les tenant fermement entre les mains, j’ai même failli les lui arracher des mains, ce qui m’a choqué c’est mon écriture et ma signature, il m’aurait fallu un support avec des lignes en dessous des feuilles pour sortir une écriture aussi droite et parfaite, je lui ai demandé de me remettre les courriers pour le lire, il a refusé, j’étais énervée et remontée à bloc, j’ai fait arrêter l’expertise pour me calmer, je voulais parler à mon avocate qui m’avait entrainé dans ce guet-apens. Le docteur Binder avait préparé tout un attirail de faux pour justifier ses actes criminels de 2012 et son meurtre échoué en 2013, si j’étais décédée le 29 mai 2013, il m’aurait fait passer pour une malade mentale et fait passer le meurtre pour accident.

 

Au retour de la pause, j’ai demandé le report de l’expertise à mes frais, je voulais que l’on m’envoie tous les originaux des pièces présentées par Jean-Philippe Binder au cours de cette expertise, même les documents de prêts et l’échéancier du prêt qu’il avait signé après mon départ le 15 mai 2013, son avocat a dit que c’est moi qui avais demandé le crédit à Binder parce que je n’avais pas d’argent pour financer l’intervention du 29 mai 2013 et le docteur BINDER dans sa bonté m’avait proposé un crédit et fait cadeau du coût de la lipoaspiration, j’avais plus de 70 000 euros sur mes comptes et une visa premier avec laquelle je pouvais payer jusqu’à 7 000 euros en CB en un seul règlement, j’ai bondi de ma chaise, j’ai sorti ma carte visa et je l’ai balancé sur la table devant toute l’assemblée. J’étais en colère et quand je m’énerve c’est pire qu’un tonnerre qui gronde, je ne pouvais plus supporter cette bande de criminels et de faussaires qui me harcelaient avec des fausses pièces que l’on me balançait à la figure, dès que je voulais m’exprimer, Maître Benhaim mon avocate ne disait rien, la seule chose qui l’intéressait c’était les 10 % qu’elle allait encaisser sur la négociation, mais elle sera déçue, ne pouvant plus me contrôler, Éric Sitbon a mis fin à l’expertise.

 

Le 5 janvier 2015, j’ai envoyé une plainte au Procureur de la République contre Binder et j’ai également dénoncé Monsieur Sitbon l’expert pour subtilisation des faux rédigés avec mon écriture et signés avec ma signature en cours d’expertise. La police de Fontenay sous-bois a rédigé lors de l’audition de la plainte un PV à sa convenance, que je n’ai même pas eu le droit de corriger, cela m’était égal, le plus important c’était d’arrêter la période de prescription, j’ai demandé à ce que la plainte figure dans le rapport d’expertise, pour que le juge soit au courant des conditions dans lesquelles l’expertise s’est déroulée, pour une contre-expertise, compte tenu des faits et des nombreux faux présentés par Maître Lacoeuilhe, je voulais absolument que les docteurs Binder, Sarfati et Picovski soient jugés au pénal pour les infractions commises avec préméditation et guet-apens sur une personne vulnérable, inconsciente sous anesthésie générale sans aucun moyen de défense et sans son consentement  « Abus de faiblesse aggravé », justifiés par des faux devis, faux consentements éclairés pour prélever mes tissus cellules humains. Le docteur Sarfati avait écrit sur le faux consentement éclairé du 31 juillet 2013 que je l’avais autorisé à faire des prélèvements sur moi en cours d’intervention, je voulais qu’il précise lesquels et pour quel usage, quant au docteur David Picovski, il m’a fait une lipoaspiration de plus 1450 ml de graisse avec 50kg pour 1m60, IMC 19, pour réparer les séquelles d’une lipoaspiration de 300 ml. Pour faire une lipoaspiration à une patiente, l’IMC doit être au minimum de 26, sans devis ni consentement éclairé.

 

Les infractions pénales commises par les docteurs Jean-Philippe Binder, Frédéric Sarfati et David Picovski étaient nombreuses : Tromperie, abus de faiblesse de faiblesse aggravé, atteinte volontaire à l’intégrité physique et psychique, prélèvement de tissus et cellules humains en per opératoire sans devis ni contentement éclairé, mise en danger de la vie d’autrui, faux et usage de faux…

 

L’expert Éric Sitbon va s’empresser d’envoyer un courrier diffamatoire à Madame le Juge, pour ne pas rédiger de rapport d’expertise, Madame le Juge va lui demander de reprendre l’expertise à mes frais.

 

La seconde expertise a eu lieu le 22 juillet 2015, Madame FAYE mon amie qui m’avait accompagné le 11 septembre 2013 au cabinet du docteur Binder pour récupérer les documents était venue témoigner, compte tenu que Me Benhaim n’avait pas engagé le médecin conseil qu’elle avait promis engagé pour me représenter à l’expertise. Le docteur Binder avait avoué devant Madame Faye et également à l’expertise, m’avoir détourné de l’hôpital Saint-Louis pour porter volontairement atteinte à mon intégrité physique et psychique à la clinique Ambroise Paré, parce que je n’avais besoin d’interventions esthétique. Maître Benhaim m’a laissé me débrouiller toute seule sans intervenir, le 22 juillet 2013, c’est Madame FAYE qui répondait à la place de Maître Benhaim muette comme une tombe, mais le nom de Madame Faye ne figure pas sur la feuille de présence, je n’avais reçu ni devis que j’avais signé 15 mai 2013 ni les photos prises lors de la consultation du 12 juin 2013. Après les discutions SITBON m’a pris des photos, en présence du médecin conseil du docteur Binder, il m’a demandé de me mettre nue, j’ai refusé, car je ne voyais pas pourquoi je devais me déshabiller entièrement, il m’a expliqué que si je ne me déshabillais pas, il ne pourrait pas prendre des photos d’expertise, alors j’ai exécuté, il a pris des photos de moi nue, il n’avait pas de mètres pour mesurer quoique ce soit, ni de balance pour me peser.

 

À la fin des photos, il m’a dit Madame Boungou, les dépressions causées par les lipoaspirations des docteurs Binder et Picovski ne peuvent être réparées que par des injections de produits de comblement « Macrolane », compte tenu que vous n’avez pas de graisse à transférer pour une réparation par lipofelling, arrêtez de dépenser votre argent dans les instituts, la graisse aspirée ne repoussera jamais, j’en étais à plus de 4.000€ de soins en institut croyant que ma peau allait redevenir normale après que David Picovski les couches internes de mon épiderme pour prélever les cellules souches de la peau.

 

Je me suis mise en quête d’un chirurgien pour le devis de Macrolane à remettre à Sitbon, tous me disaient la même chose, le macrolane coûte cher et il faut renouveler les injections chaque année. Compte tenu que c’est l’expert qui avait proposé cette réparation au cours d’expertise, c’était BINDER et PICOVSKI qui devaient rembourser le coût des injections. Le 17 décembre 2015, j’ai consulté le docteur Diacakis pour un devis de Macrolane, il m’a déconseillé pour les mêmes raisons que les autres praticiens, il m’a conseillé un devis de transfert de graisse et m’a fait le même discours que PICOVSKI, j’ai refusé en disant c’est exactement le même devis que m’avait fait ce dernier pour me détruire l’esthétique de la peau, il m’a dit comme c’est l’expert qui a conseillé l’intervention, je vais vous faire un devis de transfert de graisse à remettre à votre avocate pour l’expert, si le devis est accepté vous pouvez prendre du poids pour l’intervention, puis il a fait l’étalage de ses compétences.    J’ai remis le devis à Maître Benhaim qui l’a transmis à Lacoeuilhe et à Sitbon, sans savoir que j’avais signé mon arrêt de mort, je n’avais pas confiance à l’expert Sitbon et à Maître Lacoeuilhe donc j’ai effacé le nom de Richard Diacakis avant de remettre le devis à Maître Benhaim qui savait que c’était Diacakis et mes bulletins de salaires depuis juillet 2015, mois  de l’expertise pour  me faire rembourser les pertes de salaires.

 

Le 06.12.2015, j’ai reçu un mail de Maître Benhaim qui me disait que l’expert avait reconnu la responsabilité de BINDER pour les trois interventions, accompagné d’un faux pré-rapport d’expertise de 90 pages, rempli de diffamations, d’affabulations et de photos de moi nue complètement retouché, il avait reproduit mes dires dans son pré-rapport d’expertise, c’est de la violation du secret professionnel, en page 77, il y avait le devis de Diacakis. J’ai eu rendez-vous avec Même Benhaim avant les fêtes de fin d’année pour discuter du pré-rapport, elle m’a dit que l’expert Sitbon proposait 100 000 euros pour ne pas rédiger de rapport d’expertise, je devais retirer mes plaintes et ne pas engager de procédures. J’ai refusé…

 

Le seul moyen de m’arrêter était de me faire assassiner. Mon hémoglobine 10,9 ne me permettant pas de subir le transfert de graisse, le 4 avril 2016 j’ai annulé l’intervention en consultation avec l’anesthésiste Ferrari le 4 avril 2016. J’ai consulté le docteur Montoneri le 5 avril 2016, je l’avais déjà consulté après mes résultats sanguins, il m’a prescrit un devis de Macrolane « 10 060 euros par an à vie », j’ai envoyé le devis à Maître Benhaim puisque malgré mes demandes, Sitbon ne voulait toujours pas m’envoyer le rapport d’expertise. Maître Benhaim m’a enfin envoyé un faux rapport d’expertise de Sitbon le 7 avril 2016.

 

Alors que l’intervention avait été annulée, j’ai reçu un message subliminal le 12 avril 2013 à 20h de Richard Diacakis qui me disait d’être à la clinique des Champs Élysées à 13h30 pour me faire opérer, le lendemain à 12h30, j’ai quitté chez moi comme une automate, sans savoir qu’on allait m’assassiner. Après m’avoir vidé le corps du visage aux pieds, manque de chance pour Sitbon, Maître Benhaim et Lacoeuilhe, je vais quitter mon corps, ce geste va pousser Diacakis, Ferrari et les autres criminels qui étaient venue prélever mes tissus et cellules du visage aux pieds à abandonner mon corps sans vie après plus de 4 heures d’intervention. 

 

Je vais être renvoyé à la vie avec pour mission bien précise. Après ma résurrection, je vais reprendre mes procédures là où je les avais laissés en y intégrant trois personnes, Diacakis, Ferrari et la clinique des Champs Élysées. À partir de là, je perds le contrôle des évènements, je suis guidée par des intuitions.

 

N’ayant pas trouvé d’avocat pour une contre-expertise, j’ai décidé d’engager les procédures de réparation avec le faux rapport d’expertise, c’était le seul moyen que j’avais de faire tomber, Sitbon, Lacoeuilhe et mes avocats.

 

1 -Le faux rapport d’expertise, présentation non conforme à la forme légale et pas de date d’expertise sur la 1ère page, il n’est pas signé, l’adresse différente de la convocation…

 

2 -Le faux jugement est rendu au TGI du 10.12.2018, mon adresse dans le 94 et la CPAM dans le 93, je veux bien que l’on se moque des juges, mais pas des greffières…

 

3 -J’ai déposé plainte à l’ordre des médecins et j’ai vu le vrai rapport d’expertise, il fait moins de 50 pages, avec la forme officielle en possession de l’avocat de Sitbon, identique a celui du professeur Revol que j’ai mis en exemple...

 

4 -J’ai écrit un témoignage en 2019, pour dénoncer ses crimes, Sitbon m’a envoyé une citation directe pour diffamation et m’a demandé 34 000 euros de dommages, il a payé 4 000 euros

 

5 -J’ai fait annuler sa citation directe, par une fin de non-recevoir, j’ai plaidé seule l’affaire devant une hystérique son avocate. Les juges et le procureur m’ont suivi, ils m’ont dit de ne pas abandonner et d’aller à la maison du Barreau, je trouverais un avocat pour récupérer mon rapport d’expertise et engager les poursuites pénales…

 

 

Dans cette affaire, Maître Lacoeuilhe, Éric Sitbon, mes avocats ont commis plusieurs crimes contre la Nation en bande organisée :

 

1- Faux en écriture publique

2- Entrave à la justice

3- Atteinte à la probité de la justice

4- Violation du secret professionnel

5- Atteinte à la probité du métier d’avocat…

Passible de 15 ans et 225 000 euros d’amende…

 

En engageant ces procédures, mon premier objectif c’était de faire dépenser l’argent que ce criminel ingrat m’avait extorqué. Je vais récupérer mon rapport d’expertise et enfin engager mes procédures, avec l’aide de l’association.

 

Sitbon m’a extorqué 3 800 euros de rapport d’expertise, il a dépensé pour son avocat devant l’ordre des médecins 1 800 euros, 4 000 euros de consignation et entre 1 800 et 2 400 euros d’avocat devant le tribunal correctionnel. Pari réussi !

 

 
 

 

Pièces jointes

 

Expertise SITBON

1- Me Briollet Convention+Demande expertise

2- ORDONNANCE-REFERE BINDER

3- CONV.EXPERTISE + PIECES 2012

4- PIECES ABALTION IMPLANTS 2013-pages-1,4-10

5- Pièces d'expertise SAUVEUR SARFITI

6- Pièces d'expertise David PICOVSKI

7- PRE-RAPPORT SITBON-EXPERTISE 22.07.2015

 

Affaire BOUNGOU contre SITBON

1- Présentation officielle d'un rapport- Pr REVOL

2- FAUX RAPPORT SITBON - EXTRAIT

3- FAUX JUGEMENT DU 10.12.2018-BINDER

4- SITBON Plainte Ordinale-PV NC

5- SITBON-Mémoire-Décision Ordinale

6- SITBON-Citation Directe

7- ARRET 02.07.2020-BINDER

8- SITBON-Conclusion Me Courrège

9- SITBON-JUG. Correctionnel

 
     
   
 
   
 
   
 
 
             

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