YERATEL-JUSTICE-SANTÉ-ÉCONOMIE  
           
 

L'ASSOCIATION YERATEL

 

 

J’ai consulté le docteur Richard Diacakis le 17 décembre 2015, après avoir visionné une émission sur YouTube dans lequel le docteur Haddad l’un des associés de la clinique occulte des Champs Élysées et le docteur Sydney Ohana lui faisaient du compérage, pour me faire un devis de produit de comblement résorbable à remettre à l’expert Éric Sitbon, pour réparer les conséquences de la tentative de meurtre de docteur Jean-Philippe BINDER le 29 mai 2013 au cours d’une ablation d’implants mammaires à la clinique Ambroise Paré à Bourg La Reine où il y avait eu deux décès en 2010 au cours de lipoaspiration,  le docteur David PICOVSKI a réparé les séquelles de l’intervention de BINDER en me faisant une lipoaspiration de plus de 2 litres sans devis ni consentement éclairé, avec un poids de 50 kg pour 1m60, IMC = 19, qui m’avait détruit la peau et déformé la silhouette.

 

L’expert judiciaire Éric Sitbon avait proposé 100 000 euros à Maître Caroline Benhaim mon avocate pour ne pas rédiger de rapport d’expertise et pour que j’arrête mes procédures, j’avais refusé.

 

J’avais refusé de négocier et il y avait eu deux décès ou « meurtres » à la clinique Ambroise Paré à Bourg La Reine où Binder avait tenté de m’assassiner après m’avoir détourné de l’hôpital Saint-Louis, mes procédures dérangeaient, car ce trafic profite à tout le monde plus particulièrement au Ministère de la santé, les membres du gouvernement qui financent les activité criminels des cliniques, au cabinet Branchet, aux avocats et aux associations des victimes qui négocient les meurtres avec les familles pour les étouffer, les tissus et cellules humains en faisant signer aux victimes des clauses de confidentialité abusives contre un pourcentage sur les prix de négociation « 10 à 15 % HT ».

 

Le 17 décembre 2015, docteur Richard Diacakis m’a déconseillé la réparation par produit de comblement résorbable « Macrolane » coûteux et renouvelable chaque année, il m’a conseillé de prendre du poids pour faire un lipofilling, greffe de ma propre graisse, une seule intervention définitive, j’ai refusé compte tenu des expériences précédentes, il m’a alors fait un devis de 7 000 euros à remettre à l’expert pour faire rembourser l’intervention par BINDER et PICOVSKI. Ce devis est dans le rapport d’expertise d’Éric Sitbon pièce 37, page 77.

 

J’avais également consulté le docteur Montoneri pour le devis de Macrolane, produit de comblement résorbable d’un coût annuel de 10 060 euros que j’avais également adressé à mon avocat, car c’est l’expert Éric Sitbon qui avait proposé cette réparation à l’expertise, mais l’expert Éric Sitbon, Maitre Georges Lacoeuilhe et mon avocat avaient tous opté pour le devis de Richard DIACAKIS.

 

Le 13 avril 2016, je me suis fait opérer à la clinique occulte des Champs Élysées. L’intervention était ambulatoire, d’une durée maximum de 2 heures, je rentrais chez moi après l’intervention. La famille Cohen dirigeant de la clinique occulte des Champs Élysées propriété de l’état a mis à la disposition de Richard Diacakis et l’anesthésiste Emiliano Ferrari, qui  travaillait dans cette clinique sans autorisation d’exercer la médecine depuis plus de 10 ans, la salle de torture où Ferrari m’a maintenu pendant plus de 4 heures endormi, pendant que Richard Diacakis me prélevait tout le corps du visage aux pieds de tous les tissus et cellules humains (sang, graisse, cellules souches, cellules de moelle osseuse…, plus de 7 litres détruisant l’intégralité de la peau, le visage, l’intégralité du corps et la santé, j’ai fait une mort imminente au cours de cette intervention qui m’a sauvé la vie, les poussant à abandonner mon corps sans vie.

 

Il va de soi que ce n’est pas Richard Diacakis ni Emiliano Ferrari qui ont procédés à la vente de mes tissus et cellules, à moins qu’ils aient ramenés des récipients pour transporter le butin de leur crime.

 

Le 13 avril 2016 quand je me suis fait opérer de la clinique des Champs Élysées, c’est l’État qui l’utilisait illégalement depuis 2009, après faillite de cette clinique en 2008.

 

L’état a légalisé en France, la vente des tissus et cellules humains par les contrats signés d’une part par les hôpitaux et les cliniques de chirurgie esthétique, d’autre part par  L’Oréal et les laboratoires qui avait besoin de matières premières pour fabriquer les cosmétiques et les traitements à base de tissus, cellules souches et les cellules de moelle osseuse vendus plus de 150 000 euros le traitement. Information reçu du médecin du travail qui avait lui-même travaillé dans les cliniques de chirurgie esthétique qui avaient signé ses contrats avec L’Oréal, j’ai même rencontré un livreur de cellules graisseuses qui faisait des livraisons de graisse aux laboratoires de L’Oréal…

 

J’ai agonisée pendant 7 mois après l’intervention du 13 avril 2016 et je n’ai repris le travail que le 5 décembre 2016. Le 30 juin 2016, j’ai dû arrêter de travail après un passage aux urgences de l’hôpital de Nogent sur Marne pour des douleurs chroniques qui me rongeaient la chair sur tout le corps et des douleurs sur toute la partie droit du corps du visage aux pieds, le médecin des urgences a fait une déclaration à la CPAM sur l’intervention du 13 avril 2016, en voyant l’état de mon corps et les cicatrices laissées par Richard Diacakis et sa bande organisée.

 

J’ai été plusieurs fois arrêtés par mon médecin traitant qui voulait me déclarer handicapée, je ne supporte plus la chaleur ni la clim en été, en automne, je suis une météo ambulante quand il va pleuvoir, tout mon corps est irradié de douleur, j’ai toute la partie droite du visage, cou, bras, mains qui me rongent en permanence, les douleurs du  genou droit, les douleurs du mollet droit  me déchire le cœur des crampes qui peuvent durer jusqu’à 30 minutes, je n’ai plus une once de graisse aux chevilles, l’aspiration des pieds m’a causé de l’arthrose, les plantes de mes pieds me brulent, mes voutes plantaires ont un creux et elles ne touchent plus les chaussures et l’os au-dessus sont  gonflés, le podologue m’avait prescrit les semelles, impossible de les mettre à cause de l’os au-dessus qui est gonflé, je n’arrive pas mettre certaines paires de chaussures fermées, la rhumatologue m’a dit que l’arthrose ne se soigne il faut faire des massages… Les douleurs m’ont causé de l’hypertension…

 

Le 29 septembre 2022, j’ai passé une visite médicale de travail à la demande de mon employeur, à mon retour d’arrêt maladie, suite à des problèmes de santé récurrents déclarés par l’infirmier de notre travail à la RH. J’étais souvent à l’infirmerie pour des douleurs permanentes dû à la clim qui me faisaient monter la tension artérielle à des taux très élevés, après la visite médicale le médecin du travail a voulu me mettre en arrêt maladie immédiatement pour consulter le centre de la douleur de l’hôpital Cochin, pour trouver un traitement à mes douleurs permanentes et pour soigner l’arthrose provoquée par la lipoaspiration des mains et des pieds, il m’a déclaré handicapé à 50 %, j’ai négocié avec lui, pour consulter mon médecin traitant ne pas quitter mon poste en laissant tout sans en informer mon employeur et faire la répartition de mes portefeuilles, le médecin du travail m’a remis une lettre de recommandation pour mon médecin,  pour me déclarer handicapée à 50 % pour que je puisse me faire soigner. Alterner travail, arrêt maladie et chômage n’était pas une solution pérenne.

 

Le 12 octobre 2022, mon médecin du travail m’a déclaré handicapé à 50 %, il fait m’a remis une lettre de recommandation pour consulter le centre de la douleur de l’hôpital Cochin, et un autre pour le professeur Barbara Hersant à l’hôpital Henri Mondor, elle est professeur en chirurgie plastique réparatrice pour un compte rendu des réparations de mon visage et mon corps, il m’avait dit de ramener les photos avant /après pour bien montrer les dommages corporels et esthétiques que j’avais subi le 13 avril 2016…

 

Le 23 novembre 2022, j’ai consulté le professeur Barbara Hersant, je lui ai remis le courrier pour un compte rendu des réparations esthétiques à envisager, pour réparer les dommages corporels de l’intervention du 13 avril 2016 et surtout mon visage pour que je retrouve mon identité.

 

Le professeur Hersant après m’avoir occulté a vu les photos avant et après les intervention, les faux devis, faux consentements éclairés et faux comptes rendus de opératoire, elle m’a dit que le docteur Binder était obligé de me faire une lipoaspiration pour mettre de la graisse dans mes seins pour compenser les implants, j’ai dit pardon ? Et pourquoi je n’avais pas été prévenue avant l’intervention, j’aurais dû signer un devis pour ça, elle essayait de justifier les actes de barbarie que j’avais subi alors que je l’avais consulté pour un compte rendu de réparation, j’ai fini  ensuite par lui dire qu’il y a un trafic de tissus et des cellules humains en chirurgie esthétique et tout le monde le sait,  de plus la graisse n’a jamais été transférée dans mes seins et pour Diacakis ? Elle m’a répondu, je vais vous envoyer prendre des rendez-vous de suivi avant l’intervention, j’enverrai le compte rendu de consultation avec les consignes de réparation à votre médecin traitant. Elle m’a donné le numéro d’un service à l’hôpital Henri  et elle a appelé au téléphone pour dire je vous envoie une patiente pour un suivi.

 

Je suis allée dans le service une dame m’attendait, elle m’a emmené aux urgences, on m’a pris de la tension, on m’a dit vous faites de l’hypertension, on m’a installé dans la salle d’attente en me disant qu’un médecin devait me recevoir. L’on m’a ensuite fait absorber des médicaments sans mon consentement sous la menace, une fois endormie, j’ai été enlevée et séquestrée dans un hôpital psychiatrique jusqu’au 2 décembre 2022 sur ordre de l’hôpital Henri Mondor sans prévenir mon médecin traitant.

 

Trois psychiatres m’ont demandé de signer mon internement, j’ai refusé, ils m’ont dit, vous devez arrêter vos procédures, je leur ai demandé si c’est pour cela qu’ils m’avaient interné. Puis, ils m’ont demandé pourquoi vous n’avez pas négocié avec l’assurance comme les autres victimes pour passer à autre chose ? L’un d’eux m’a demandé si je me croyais supérieure au Président Macron, j’ai demandé si l’ordre de mon internement venait directement de Macron.

 

Il m’a dit de toute façon vos procédure n’aboutiront jamais,  vous représentez un danger pour les médecins qui vont ont opérés, vous connaissez leurs adresses, si on vous relâche, vous allez les agresser. Je lui ai répondu, si j’avais voulu les agresser, avec les honoraires de procédures que j’engage pour les mettre hors d’état de nuire, j’aurais payé des voyous pour leur broyer à tous les os d’une main avec un marteau pour les mettre définitivement hors d’état de nuire.

 

Le 2 décembre 2022, mes deux filles sont venues à l’hôpital psychiatrique pour me sortir, les trois psychiatres après leur avoir fait un portrait de moi comme étant suicidaire, qui ne me ressemblait pas du tout pour leur demander l’autorisation de m’interner, mes filles leurs ont répondu, qu’elles ne partiront pas sans moi, alors ils ont fait signer la levée d’internement sans consentement à mes filles, ils l’ont faxé au préfet, le préfet les a autorisé à me laisser partir avec mes filles.

 

Le 19 décembre 2022, j’ai créé l’association YERATEL pour me protéger et mettre en place des actions pour protéger les clients(es) de la chirurgie esthétique contre l’État qui est prêt à tout pour maintenir son trafic d’organes, de tissus et cellules humains et entraver le cours de mes procédures.

 
   
     
   
 
   
 
   
 
 
             

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. En poursuivant votre navigation, vous consentez à l'utilisation des cookies.